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Le Duc des longs bars – Part 3

Ce qui est fascinant (ou franchement horripilant), chez Ponpon, c’est l’étendue de son érudition dans un très grand nombre de domaines, le vin bien sûr, dans tous ses aspects y compris la pratique* mais aussi la cuisine, l’agriculture, la botanique, la géographie, l’histoire,  l’architecture encore plus particulièrement (en incluant tous les métiers de l’artisanat qui y sont associés, mais aussi ceux qui ne le sont pas), le design, le mobilier, la musique, la haute fidélité…bon, j’arrête l’énumération, mais disons qu’à notre connaissance, il est TOTALEMENT ignare dans les domaines suivants :

1) Les dynasties bagratides d’Arménie (par exemple, il ignore totalement les dates du règne de l’anti-roi Ashot le Sparapet, fils de Chapouh, le frère de Smbat 1er : 914 – 920)

2) Il a de très grosses lacunes en médecine ayurvédique, demandez-lui d’énoncer les 3 dosha** dans la doctrine de l’Ayurveda et il fera moins le malin.

Pour le reste, évitez en sa présence de tenter de vous faire mousser auprès d’une femme par l’étalage de vos connaissances, il risque d’en souligner cruellement les limites, bilan, vous passerez pour un cuistre. Et les femmes savent écarter les cuistres.

Comment une telle somme de savoir peut-elle loger dans un espace aussi réduit que celui qui sépare ses deux oreilles, c’est un mystère. Mais cette exceptionnelle capacité à accumuler les connaissances est à rapprocher d’une autre caractéristique de Ponpon : sa capacité à se mettre dans le cornet des quantités de raisin fermenté étonnantes pour un mec gaulé comme un coureur de demi-fond, sans donner le moindre signe de faiblesse.

D’où cette hypothèse : il existerait peut-être une corrélation directe et scientifiquement démontrable entre la soif d’apprendre et la soif tout court, entre la picole et l’école! Conclusion : allez plus au bistrot, vous deviendrez plus savant!

In vino veritas!

* Actuellement, Ponpon est complice en vinifs saumuroises de Sébastien Bobinet et Laurent Lebled.  Et si vous croisez une bouteille de saumur blanc Château Yvonne 2004, cédez-lui la priorité, vous ne le regretterez pas.

** Vata (vent/esprit/air), Pitta (feu/bile), Kapha (terre/eau/mucus)

Le Duc des longs bars – Part 2

Attardons-nous un peu sur le cas remarquable que constitue Ponpon, que nous n’avons fait jusqu’à présent qu’effleurer superficiellement.

Comme le prouve la photo ci-dessous, Ponpon a été doté par la nature de certains organes plus développés que la moyenne, à l’aide desquels il est en mesure de détecter très finement la moindre trace de connerie dans son entourage.

Opérant avec la sensibilité des plus puissants radio-télescopes qui fouillent l’Univers à la recherche de signaux de vie extra-terrestre,  ces organes ont en revanche beaucoup plus de succès et rapportent quotidiennement une vraie moisson de résultats.

Dès qu’un signal de connerie est capté, un sourire sardonique s’affiche sur son visage, précédant le verdict : “Ah ben tiens, encore une belle tête de con, celui-là!”. Et on sent quelque chose comme la satisfaction du pêcheur ligérien qui sort de l’eau un sandre de belle taille.

Néanmoins, cette allergie à la connerie lui est manifestement pénible malgré son dévouement à la recherche scientifique. Elle peut également rendre légèrement nerveux ceux qui l’approchent. En effet, qui peut s’en croire tout à fait exempt, même à l’état de traces? De même que le vigneron sans soufre le plus puriste se doit d’afficher sur ses bouteilles la mention “sans sulfites ajoutés”, nul ne peut affirmer à l’avance qu’il saura passer l’épreuve d’un détecteur aussi fin.

En ce qui me concerne, je crains de l’avoir plus d’une fois exposé à des doses massives, mais il a presque toujours eu la charité d’attendre pour réagir que je sois parti pisser. N’empêche, Ponpon, c’est quand même une belle langue de pute!

Le Duc des longs bars – Part 1

S’il existait un Prix Nobel de Bistrologie, le jury n’aurait pas l’ombre d’une hésitation. Hélas, l’Académie suédoise se cantonne à des domaines subalternes comme la médecine ou la physique, ignorant, les pauvres, à quels sommets un homme comme Bernard Pontonnier, dit Ponpon, a pu porter cette discipline à la fois sportive (lever de coude), sociale et culturelle. Ah les cons! Le Georges Charpak du comptoir, le Pierre-Gilles De Gennes du limonadier, l’Albert Schweitzer de la cuite, ils le méconnaissent!

Jeunes gens qui insouciamment biberonnez des boissons naturellement fermentées, vous ignorez tout ce que vous devez à Ponpon, et d’ailleurs il ne tiendrait pas particulièrement à ce que vous le sussiez. Le vin avant Ponpon, c’est un monde qu’on a du mal à se figurer, mais essayons quand même, pour cela, il faut remonter au Haut Moyen-Âge :

A la fin de l’Empire romain, le vignoble passe aux mains des moines. Mais l’un d’eux, Ponponus,  décide de faire sécession. Il ouvre sur la Montagne Sainte Geneviève, lieu sacré s’il en est, un petit débit de boisson, le Novum Pretorium (qu’aujourd’hui on traduirait par Nouvelle Mairie), petit par la taille, mais considérable par la quantité, et encore bien plus par la qualité des boissons qui y coulent. Ponponus parcourt la Gaule à la recherche des meilleurs pinards, encourage les vignerons à mettre en bouteille plutôt qu’à livrer des pièces de vin qu’il faut protéger par une adjonction massive de soufre, comme c’était l’usage en ces temps anciens dans les bistrots de Lutèce. Ses explorations privilégient les appellations peu reconnues : Loire (si vous voulez l’énerver, parlez-lui de “petits vins de Loire”), Rhône ou Beaujolais, où il commerce avec Jules Chauvet. Et derrière le comptoir, ses clients et potes s’appellent Bob Giraud ou Roland Topor.

Ses talents exceptionnels de gestionnaire (n’oublions pas qu’il est titulaire d’un MBA*) lui permettent de fermer assez rapidement le Café de la Nouvelle Mairie et de passer à d’autres aventures, qu’il n’acceptera de vous narrer que de vive voix, si une nuit vous le croisez au comptoir du Baratin. Fervent partisan de la tradition orale, authentique griot de bistrot, il oppose une fin de non-recevoir à ceux qui souhaiteraient l’entraîner vers l’écrit.

D’ailleurs, en dehors de ses qualifications bistrologiques, Ponpon fait plus que se distinguer dans l’exercice de la Langue De Pute, c’est même un Grand Maître de dimension internationale, qui mériterait de se voir décerner quelque chose comme la médaille Fields de la LDP. Si vous vous trouvez à table avec lui, évitez de vous absenter pour aller pisser, vous risqueriez de le regretter…

*Meilleure Biture de l’Année

Les vins d’Yeu ***

Quand début août, au moment de charger les bagages pour l’île d’Yeu, ma fiancée m’a demandé “pourquoi tant de bouteilles?”, pour une fois la réponse était vraie et la cause noble. “C’est pour le travail que je dois faire avec monsieur TOLMER, oui tu sais, cet être frêle à l’image du roseau, ce roseau que l’on plante en terrain humide afin de l’assécher en profondeur, hé bien nous avons décidé de nous lancer dans la vidéo”. GLOUGUEULE se doit d’être à l’avant-garde. Nos milliers d’abonnés ne nous pardonneraient pas de rater le train de l’Histoire ou de ne s’y s’asseoir que sur un strapontin en seconde. ” Angèle de ma vie, Amore mio, ma tou sé cé choses! No?”

Effectivement Michel et moi avions décidé qu’avec un peu d’imagination et beaucoup de volonté nous pouvions acquérir ce magnétisme d’outre-Atlantique qui fascine tant certain dessinateur de BD, le décolleté en moins. Mais nous opterions pour une version plus proche de nous, plus mâle, un juste milieu entre  OLIF, notre ami jurassien et Mademoiselle FILION, notre cousine québequoise, en gros une Aurélia barbue et couperosée à point.

Pas facile de nous départager sur la couperose, je l’ai emporté d’une courte tête. Restait plus qu’à trouver le metteur en scène, cameraman, preneur de son, chef opérateur. Parmi la foule qu’il était, sautant sur place et me criant “Moi! moi! moi!” Michel fut retenu. “Fastoche! Tu vas voir!”. Nous avons installé un climat chaleureux propice à laisser galoper nos imaginations : une prise = un verre, la bonne équation. La vidéo qui suit vous permettra de constater l’efficacité de notre méthode. Concision du propos et clarté d’élocution ont été nos maitres-mots.


Avec ce premier opus nous espérons sincèrement avoir élevé le débat et apporté cette lumière tellement nécessaire aux débutants en quête de repères pour les accompagner dans leurs premiers pas vers un alcoolisme maitrisé et totalement débridé. Voilà !

*** Rappelons pour nos lecteurs qui auraient moins de trois ans, qu’est sorti en 2007 un ouvrage référence, édité par les Editions Ellebore, portant ce titre, pour lequel les critiques furent plus qu’élogieuses. N’en citons qu’une, celle du Petit Ligérien Libéré qui par la bouche de Bernard PONTONNIER s’exprimait en ces termes : “Ce livre est étonnant ! Vraiment étonnant !”

Que dire de plus ?

Encore une innovation Glougueule!

GLOUGUEULE vient de mettre au point l’iPot et rien ne sera plus comme avant. Avec ce petit bijou de technologie, désormais, vos meursaults favoris vous suivent partout. Imaginez : les grands récitals de pinot, les grands noms de la saoule musique, l’intégrale de Mark Angeli, tout ça accessible où vous voulez quand vous voulez en chargement illimité!

GLOUGUEULE : Drink different

Nouvelles révélations de WIKIL’HIC

Des révélations dont les ondes de choc n’ont pas fini de faire tinter les Spiegelaus sont parvenues aux services spéciaux de GLOUGUEULE. Ils impliqueraient deux personnalités au parcours troubles. Notre indicateur, qui a bien évidemment voulu garder l’anonymat et fait depuis l’objet d’une protection policière, nous a confessé les faits suivants :

“Mimi dont vous connaissez partiellement la trajectoire fulgurante, tout à la fois mannequin vedette, sculpteur-buveur, pré-bougnetteur de ticheurtes, capitaine au long cours emmanché d’un long gosier et Pompon, porteur d’un joli morceau de l’histoire bistrotière parisienne, architecte-décorateur, interprète-référence du répertoire de Boby Lapointe, encyclopédiste du design, vinificateur en pays saumurois. Ces deux êtres aux vertus de malfrats se sont associés dans une entreprise d’un nouveau genre. Intuition, ruse, psychologie, résistance, méticulosité, patience : qualités des grands chasseurs de fauves au service d’une nouvelle discipline.

Quand récemment ces deux amis m’ont invité à les suivre dans une cave réputée du Bd Haussman et m’ont demandé de photographier de mythiques bouteilles dans un ordre bien précis avec mon portable, je me suis interrogé mais n’ai pas posé de questions, habitué que je suis par mon  ami corse A.A. à n’en pas poser. Puis ils m’ont expliqué que le soir même je resterai chez moi et exécuterai leurs ordres, via le mobile.

Reconstitution de la soirée.

21h : sonnerie, Mimi, ton enjoué : “Alors les mous du genou, on se retrouve en petit comité pour déguster des fonds de caves inondées?”

Deux tons plus bas : “Envoie la première!”

puis : “Ouais mais ça c’est de la gnognotte à côté de ce que Philippe nous a sorti!”

Envoi de la première photo : Substance d’Anselme SELOSSE, dégorgement 2004.

21h22 : cette fois Pompon : “Vous nous faites rire avec votre mousseux de premier communiant, nous Philippe il a envoyé Anselme, mais 98 et en magnum, alors……….!, …envoie la deuxième”.

Ultime d’Yvon METRAS 2003.

22h04 : “Décidément vous êtes toujours un gland en dessous, nous, Philippe, y mégote pas : Ultime oui! mais 99 et toujours en magnum, alors vous pouvez toujours retourner jouer dans votre cours les morveux!……….la suivante dans dix minutes !”

Afin de ne pas vous ennuyer avec  ce récit  je vais abréger et vous dire que j’ai transmis plus d’une dizaine de photos de bouteilles toutes plus désirables les unes que les autres avec leurs jolies capsules congés, avec entre autres un jéroboam de Clos Goillottes 2001 de Prieuré-Roch qui m’a tiré une larme. Dans l’énumération que les deux compères ont bien voulu me faire par la suite surnage dans ma mémoire, outre les premières citées : Poulsard 97 et Vin Jaune 89 de chez Pierre OVERNOY, Mémé de Gramenon 90, Rayas 89, Clos de Bèze 90, et puis d’autres dont je préfère oublier les noms.

03h06 dernier coup de fil : “B’alors les fafioles on f’est calmé, on cause plus?…. Hé Phli’p!.Ph’lip !…. Y disent que ta cave f’est pas mal mais qu’il serait temps d’envoyer du lourd ! P…..! Philippe t’vas pas t’laicher infulter par des demi-sels… Hé Phlip!… T’aurais-pas un petit JAYER qui pinote sans frime ?…. Aaah! Tu vois Pompon ch’tavais dit qu’y devait y en avoir!”

Fin de communication.

Renseignements pris le lendemain, la nuit s’est arrêtée vers 4h37. Ce fameux Philippe, homme fort charmant au demeurant à qui j’envoie toute mon amitié et qui sait où me joindre si besoin, outre une légère gueule de bois a eu la franche sensation de s’être laissé emporter bien au-delà de ses prévisions. Après vérification, il a bien constaté que Mimi et Pompon étaient des invités de rang 2, potentiellement 3 mais en aucun cas 6 comme ils s’avéraient avoir été traités. Il a bien senti passer le vent de l’arnaque sans toutefois en avoir recueilli les indices.”

3615 Marula

Le marula est un arbre africain dont les fruits, une fois tombés à terre, fermentent. Les nombreux animaux qui en sont friands se retrouvent piégés par les effets inattendus de l’alcool qui interviennent pendant la digestion. Ils ont alors beaucoup de mal à regagner leur tanière comme le montre l’amusante video ci-dessous.

Incontestablement, il existe un certain nombre de points communs entre le marula arbre africain et le Marula, Gérard de son prénom, vinificateur du château de Coulaine à Chinon et auteur, pour son propre compte, de touraines et de chinons dont la réputation grandit en proportion de leur qualité : le fruit, la fermentation et les nombreux animaux qui en sont friands.

Mais il existe aussi de nombreuses différences. Il n’y a pas, à notre connaissance, de liens entre Gérard Marula et l’Afrique. Le fait qu’éventuellement, certains soirs, le Marula ait du mal à regagner sa tanière ne nous regarde pas, et affirmer que les nombreux animaux qui sont friands des vins de Gérard Marula se retrouvent piégés par les effets de l’alcool serait extrêmement discourtois. On n’est pas des bêtes!

Veillons donc à bien faire la distinction entre le marula fruit, dont j’ignore le goût, et le Marula vin, dont je sais le goût pour avoir bu samedi dernier une bouteille de Clos de Baconnelle 2008. Il est tellement fin et harmonieux que Gérard-ment bu un aussi bon chinon.

Secrets de beauté

Bien souvent il nous est arrivé, Philippe Quesnot et moi, de sentir un regard admiratif se poser avec insistance sur notre visage, et de deviner cette interrogation informulée : d’où vient le velouté de leur teint de pêche (de vigne), à quels mystérieux cosmétiques doit-on attribuer leur carnation si attractive, quelque part entre l’éleveur corrézien et le marin-pêcheur sibérien?

C’est pourtant simple, et vous auriez dû vous en douter, chez des êtres aussi ennemis de l’artifice que nous, seuls les produits naturels ont leur place : GAMAY, notre produit de beauté, bien sûr, mais aussi, tout simplement la crème AVINE, en applications régulières.

Si vous aussi, vous voulez développer une belle couperose, signe de bonne santé, faites comme nous : AVINE crème midi et soir.

Le café de la promenade

Ayant ouï par notre agent local, dont nous ne révèlerons que les initiales, PB, moult louanges sur cet établissement bucoliquement situé à l’orée de Bourgueil, GLOUGUEULE a délégué deux de ses inspecteurs les plus exigeants pour en vérifier la qualité et les avis sont unanimes : c’est de la balle!

Le Café de la Promenade offre une gamme de prestations propre à satisfaire les curistes en quête de bien-être et de remise en forme. Nous pouvons témoigner que vous y serez entourés des soins d’un personnel compétent formé aux dernières techniques de la vinothérapie, plus particulièrement à base de cabernet franc. Philippe Q, admis cet été  en urgence pour soigner une déshydratation massive et presque irréversible, nous déclare : “Le Café de la Promenade m’a sauvé la vie, putain, c’était moins une, un vrai miracle si je suis encore là!”.

Manifestement, Ludo et Sophie, les tauliers, le design à la Starck, c’est pas leur truc. Dès le jardin, on repère un semis de barriques, tables et sièges dépareillés où on a envie de se poser pour le premier vouvray de 11h30, pour n’en plus bouger qu’à la tombée de la nuit, quelques magnums plus tard. Ce serait dommage, à l’intérieur, c’est bien aussi. Ça vit comme si la machine à remonter le temps vous ramenait aux heures glorieuses de la civilisation rabelaisienne. Un petit détour par la cave en entrant pour choisir la quille qui sera immolée, au prix du producteur plus 8€ de droit de bouchon, et on s’installe pour engloutir quelques nourritures solides bien sous tous rapports. Et le producteur, il est souvent dans la salle, il a vu de la lumière en passant et pour quelques instants décidé de poser son écrasant fardeau de caberneticulteur.

Signalons par ailleurs que Ludo a des talents d’ambianceur, a t-il chopé ça en Alsace où il était précédemment, mais certains soirs, on ne sait plus si c’est l’Indre et Loire ou les Caraïbes. Bon j’arrête, on va les faire rougir, vous avez compris : le Café de la Promenade à Bourgueil, c’est bonheur!

Ça pagaie dans l’épilogue.

Les informations recueillies à Patrimonio ont nécessité plusieurs semaines de traitement. Tout a été pointé, répertorié, disséqué, analysé, vérifié. Eh bien, malgré toute la rigueur que nous avons pu apporter à cette expédition, il est une découverte que nous avons faite et qui a failli disparaitre à tout jamais dans l’insondable maelström de l’ignorance latente.
Au cours de notre campagne de pêche dans le golfe de St Florent nous avons bien noté avoir pris 2 dentis, 1 murène, 1 mérou (ces deux derniers ayant été remis à l’eau) mais nous avons oublié que sur la plage du ” Lodo ” nous avons, grâce à la technique de “traine au magnum”, attrapé une raie de taille hors norme qui faisait pas loin du quintal et que nous avons eu le plus grand mal à hisser à bord. Heureusement le cliché ci-dessous nous a permis de nous remémorer cette prise magnifique, corriger notre erreur et établir un rapport qui sera publié dès la rentrée de septembre dans “Point de vue et Images de l’Immonde”

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